La Frôce, avec vous !
Grand meeting de campagne de Gaspard Salcedo
Liste menée par l'Union de la Droite Frôçeuse
L’équipe de campagne avait choisi Aspen comme lieu de grand meeting, comme clin d’œil à Salcedo qui en avait été maire, et en soutien à Valentin Brimont qui en briguait le poste de président de la Métropole. Après deux heures de chauffage de salle, Salcedo déboula sur la scène.
Mesdames et Messieurs !
Aujourd’hui je vous parlerai de vous. De votre histoire. On ne parle pas assez de vous, les frôçeux. Comme si c’était démodé, de parler de la Frôce et des frôçeux. On ne met pas assez l’accent sur vos efforts, qui rythment vos journées de travail et souvent aussi votre vie privée. On ne fait pas assez de discours sur vos besoins. On vous ignore, le plus souvent, et on ignore vos vies.
(Applaudissements)
La classe politique actuelle vous mérite-t-elle ? Je suis convaincu que non. Je suis convaincu que l’on ne fait pas assez pour vous, que vous méritez mieux. Regardons un instant ce qu’ils ont fait, par pure idéologie, par pure doxa marxiste aveugle qui ne connaît pas votre quotidien.
(Huées)
Abolition des frontières et de toute politique migratoire. Parce qu’ils ne savent pas ce qu’est l’honneur de la Frôce, ils ont décidé d’abolir les attributs principaux qui fondent une Nation. Ils ont réussi à faire croire que le progrès, c’était un pays ouvert à tous les vents ! Ils ont réussi à faire croire qu’être frôçeux et être étranger, c’était la même chose ! Mais c’est faux, et c’est humiliant. C’est humiliant pour tout le monde. C’est humiliant bien sûr pour le frôçeux, à qui l’on dit que finalement son argent donné à l’État ou à la sécu, tout le monde a droit d’en profiter, même ceux qui n’ont jamais rien fait pour la Frôce. Mais c’est humiliant aussi pour l’étranger qui arrive en Frôce avec la volonté d’apporter sa pierre à l’édifice, de respecter les lois de la Frôce et les frôçeux, et qui voit que ses efforts ne sont pas plus récompensés que l’autre étranger qui ne souhaite que profiter ! Ce système altermondialiste n’apporte que de l’humiliation !
(Applaudissements)
Ces frontières ouvertes, ces conditions ultra-laxistes d’adoption de la nationalité, elles sont créatrices de colères et d’inégalités. Non, la Frôce ne peut pas accueillir tout le monde. Désormais, il y aura des quotas migratoires. Le droit d’asile sera bien entendu respecté, mais ceux qui ne viennent pas d’un pays où leur vie est en danger devront avoir une bonne raison de venir en Frôce : soit qu’ils viennent sur des quotas étudiants, soit qu’ils viennent en apportant des compétences dont nous avons besoin. Et pour devenir frôçeux, ils devront respecter le drapeau, connaître la langue et respecter la loi ! C’est la base de toute société humaine, c’est la base de tout contrat social, je ne vois pas pourquoi la Frôce vaudrait moins que les autres et devrait y échapper !
(Standing ovation)
Ce n’est pas le seul exemple d’aveuglement idéologique sur lequel nous devrons revenir. Regardez-les. Ils se congratulent entre eux d’avoir nationalisé des laboratoires pharmaceutiques et de ne plus reconnaître les brevets de médicaments. Mais où sont-ils, du même coup, ces médicaments innovants qui sont disponibles partout ailleurs pour le cancer ou les maladies rares ? Ils sont chez nos voisins, là où ils sont reconnus et disponibles. Et qu’advient-il de nos proches qui souffrent et n’ont pas accès aux thérapies de pointe ? Ils meurent dans nos hôpitaux publics, et parfois, quand ils sont très riches, ils peuvent passer la frontière pour se faire soigner. Est-ce cela la justice sociale de la gauche ? Je réformerai en profondeur la santé afin que les cotisations sociales et patronales baissent, car je suis convaincu que tellement d’argent est gaspillé par notre système que l’on peut en même temps baisser le prix fou que les frôçeux paient pour leur santé, et avoir en même temps une meilleure qualité de soins.
Je reviens de loin. Je reviens de loi pour redonner à la Frôce sa force et sa grandeur, pour cesser l’humiliation permanente. Je reviens pour augmenter le salaire des policiers fédéraux ainsi que leurs moyens, et pour faire en sorte qu’ils soient respectés et puissent lutter efficacement contre les pédophiles et les terroristes. Je reviens pour augmenter le budget de la recherche et faire en sorte que, demain, la Frôce puisse innover à nouveau. Je reviens pour garantir aux travailleurs frôçeux la liberté, la tranquillité, et des impôts qui baissent. Car oui, nous baisserons les impôts fédéraux !
Faîtes le bon choix, celui de la Frôce ! Merci à vous !
Mesdames et Messieurs !
Aujourd’hui je vous parlerai de vous. De votre histoire. On ne parle pas assez de vous, les frôçeux. Comme si c’était démodé, de parler de la Frôce et des frôçeux. On ne met pas assez l’accent sur vos efforts, qui rythment vos journées de travail et souvent aussi votre vie privée. On ne fait pas assez de discours sur vos besoins. On vous ignore, le plus souvent, et on ignore vos vies.
(Applaudissements)
La classe politique actuelle vous mérite-t-elle ? Je suis convaincu que non. Je suis convaincu que l’on ne fait pas assez pour vous, que vous méritez mieux. Regardons un instant ce qu’ils ont fait, par pure idéologie, par pure doxa marxiste aveugle qui ne connaît pas votre quotidien.
(Huées)
Abolition des frontières et de toute politique migratoire. Parce qu’ils ne savent pas ce qu’est l’honneur de la Frôce, ils ont décidé d’abolir les attributs principaux qui fondent une Nation. Ils ont réussi à faire croire que le progrès, c’était un pays ouvert à tous les vents ! Ils ont réussi à faire croire qu’être frôçeux et être étranger, c’était la même chose ! Mais c’est faux, et c’est humiliant. C’est humiliant pour tout le monde. C’est humiliant bien sûr pour le frôçeux, à qui l’on dit que finalement son argent donné à l’État ou à la sécu, tout le monde a droit d’en profiter, même ceux qui n’ont jamais rien fait pour la Frôce. Mais c’est humiliant aussi pour l’étranger qui arrive en Frôce avec la volonté d’apporter sa pierre à l’édifice, de respecter les lois de la Frôce et les frôçeux, et qui voit que ses efforts ne sont pas plus récompensés que l’autre étranger qui ne souhaite que profiter ! Ce système altermondialiste n’apporte que de l’humiliation !
(Applaudissements)
Ces frontières ouvertes, ces conditions ultra-laxistes d’adoption de la nationalité, elles sont créatrices de colères et d’inégalités. Non, la Frôce ne peut pas accueillir tout le monde. Désormais, il y aura des quotas migratoires. Le droit d’asile sera bien entendu respecté, mais ceux qui ne viennent pas d’un pays où leur vie est en danger devront avoir une bonne raison de venir en Frôce : soit qu’ils viennent sur des quotas étudiants, soit qu’ils viennent en apportant des compétences dont nous avons besoin. Et pour devenir frôçeux, ils devront respecter le drapeau, connaître la langue et respecter la loi ! C’est la base de toute société humaine, c’est la base de tout contrat social, je ne vois pas pourquoi la Frôce vaudrait moins que les autres et devrait y échapper !
(Standing ovation)
Ce n’est pas le seul exemple d’aveuglement idéologique sur lequel nous devrons revenir. Regardez-les. Ils se congratulent entre eux d’avoir nationalisé des laboratoires pharmaceutiques et de ne plus reconnaître les brevets de médicaments. Mais où sont-ils, du même coup, ces médicaments innovants qui sont disponibles partout ailleurs pour le cancer ou les maladies rares ? Ils sont chez nos voisins, là où ils sont reconnus et disponibles. Et qu’advient-il de nos proches qui souffrent et n’ont pas accès aux thérapies de pointe ? Ils meurent dans nos hôpitaux publics, et parfois, quand ils sont très riches, ils peuvent passer la frontière pour se faire soigner. Est-ce cela la justice sociale de la gauche ? Je réformerai en profondeur la santé afin que les cotisations sociales et patronales baissent, car je suis convaincu que tellement d’argent est gaspillé par notre système que l’on peut en même temps baisser le prix fou que les frôçeux paient pour leur santé, et avoir en même temps une meilleure qualité de soins.
Je reviens de loin. Je reviens de loi pour redonner à la Frôce sa force et sa grandeur, pour cesser l’humiliation permanente. Je reviens pour augmenter le salaire des policiers fédéraux ainsi que leurs moyens, et pour faire en sorte qu’ils soient respectés et puissent lutter efficacement contre les pédophiles et les terroristes. Je reviens pour augmenter le budget de la recherche et faire en sorte que, demain, la Frôce puisse innover à nouveau. Je reviens pour garantir aux travailleurs frôçeux la liberté, la tranquillité, et des impôts qui baissent. Car oui, nous baisserons les impôts fédéraux !
Faîtes le bon choix, celui de la Frôce ! Merci à vous !