Hôpital Cannizzaro
- Michaël Penle
- Député Fédéral
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- Enregistré le : lun. 31 mai 2021, 23:09
- Nom de l'avatar : Jordan Bardella
- Pseudo : Vincent De Salvo
- Sexe : Homme cisgenre
- Date de naissance : 01/01/080
- Lieu de naissance : Gambino
- Parti politique : FTLC (Extrême droite)
L'hôpital Cannizzaro est l'hôpital le plus important de la métropole de Gambino.
Nombre de mots : 17
- Michaël Penle
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Le Chancelier Suprême Gaspard Salcedo (qui a en charge également le porte feuille de la santé et des affaires sociales) avait choisi de se déplacer à l'hôpital Cannizzaro de Gambino pour présenter le prochain plan santé et rendre hommage aux soignants.
Le Président de la Métropole Michaël Penle a donc bloqué sa journée pour accueillir le Chancelier Suprême et l'accompagner durant sa visite.
Gaspard Salcedo a rejoint Michaël Penle à l'hôtel de Métropole de Gambino à 8h00, les 2 hommes ont échangé une chaleureuse poignée de main avant de s'entretenir 45 minutes dans le bureau de Michaël Penle autour d'un petit déjeuner. Puis direction l'hôpital Cannizzaro pour une visite détaillée des infrastructures. La visite de l'hôpital s'est achevée à 11h45.
Puis à 12h00, les responsables syndicaux ainsi que des représentants de chaque professions hospitalières étaient réunis dans un des amphithéâtres de l'hôpital et Michael Penle pris la parole brièvement avant de laisser la place au nouvel homme fort de la politique frôceuse.
Bonjour à tous,
Chers administrés de notre belle Métropole de Gambino, chers soignants, chers héros dévoués, nous avons l'honneur aujourd'hui de recevoir le Chancelier Suprême.
En prenant à sa charge le ministère de la santé en plus de ses fonctions de chef du Gouvernement, monsieur Salcedo a envoyé un signe fort à votre corporation, vous aurez durant cette législature tout le soutien et toute l'attention que vous méritez. Je suis on ne peut plus ravi de l'importance que le gouvernement frôceux compte accorder à la santé et aux acteurs de la santé que vous êtes.
Je vais donc sans plus attendre laisser notre Chancelier Suprême Gaspard Salcedo s'exprimer devant vous.
Je vous remercie.
Le Président de la Métropole Michaël Penle a donc bloqué sa journée pour accueillir le Chancelier Suprême et l'accompagner durant sa visite.
Gaspard Salcedo a rejoint Michaël Penle à l'hôtel de Métropole de Gambino à 8h00, les 2 hommes ont échangé une chaleureuse poignée de main avant de s'entretenir 45 minutes dans le bureau de Michaël Penle autour d'un petit déjeuner. Puis direction l'hôpital Cannizzaro pour une visite détaillée des infrastructures. La visite de l'hôpital s'est achevée à 11h45.
Puis à 12h00, les responsables syndicaux ainsi que des représentants de chaque professions hospitalières étaient réunis dans un des amphithéâtres de l'hôpital et Michael Penle pris la parole brièvement avant de laisser la place au nouvel homme fort de la politique frôceuse.
Bonjour à tous,
Chers administrés de notre belle Métropole de Gambino, chers soignants, chers héros dévoués, nous avons l'honneur aujourd'hui de recevoir le Chancelier Suprême.
En prenant à sa charge le ministère de la santé en plus de ses fonctions de chef du Gouvernement, monsieur Salcedo a envoyé un signe fort à votre corporation, vous aurez durant cette législature tout le soutien et toute l'attention que vous méritez. Je suis on ne peut plus ravi de l'importance que le gouvernement frôceux compte accorder à la santé et aux acteurs de la santé que vous êtes.
Je vais donc sans plus attendre laisser notre Chancelier Suprême Gaspard Salcedo s'exprimer devant vous.
Je vous remercie.
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- Gaspard Salcedo
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Gaspard Salcedo ne s'était rendu que quelques rares fois à Gambino. Il fut donc ravi de ce déplacement, qui lui permettait de se rapprocher du terrain, des élus locaux et des soignants. Il fut accueilli par le Président de la Métropole, Michaël Penle, envers lequel il eut des mots chaleureux lors de leur entretien. Les services de la métropole et de la Province avaient millimétré le déplacement, néanmoins Gaspard trouva le temps d'échanger avec chaleur et sincérité avec des soignants lors de la visite de l'hôpital. Cette visite à Gambino était le premier déplacement important du mandat de Gaspard Salcedo.
Monsieur le Président de la Métropole,
Chères soignantes et soignants,
Mesdames et Messieurs.
Les soignants que j'ai eu la chance de rencontrer ce matin sont uniques. Ils ont chacun leurs motivations propres qui les ont poussés à s'engager au service des autres ; ils ont chacun leur propre regard sur l'hôpital ; ils ont tous une émotion individuelle qui fait leur complexité et qui nécessite une écoute particulière des problèmes qu'ils rencontrent. Mais ils ont tous quelque chose de fort en commun : une dévotion particulière envers la société, envers la santé, envers leur pays. J'ai souhaité consacrer ce premier déplacement à ces soignants. On ne parle, en Frôce, pas suffisamment des soignants. On parle de santé, on parle d'hôpital, on parle d'action publique, mais on ne parle pas des soignants. En miroir, on ne parle pas des malades non plus. Autrement dit, en Frôce, on considère qu'investir dans la santé c'est avant tout investir dans des structures publiques. Cette manière de penser que l'état de santé des frôçeux va nécessairement s'améliorer de manière croissante avec l'investissement dans les établissements publics a vécu.
Tout d'abord parce que les hôpitaux ne sont pas composés que de structures publiques. Tout notre pays est maillé de cliniques privées, à but lucratif ou non, qui fournissent chaque jour un effort particulier pour la santé des frôçeux. A ce titre, il est largement démodé d'opposer service public et activité privée. Toutes les structures de santé doivent avoir l'obligation d'oeuvrer pour la santé de la population. Hélas, le déséquilibre est fort entre ces structures privées et l'hôpital public. Les soignants du public partent vers le privé car ils y sont mieux payés et y trouvent des organisations moins archaïques et moins centralisés. Les hôpitaux fédéraux ont mieux à faire que de courir continuellement après leurs ressources humaines. Quand aux structures privées, elles doivent être limitées dans l'activité libérale qu'elles offrent aux médecins. C'est pourquoi :
J'insiste sur le fait que les établissements appartenant à l'Etat continueront d'être gérés par l'Etat ; seulement, le système financement de droit commun par la sécurité sociale sera le même pour tous les établissements, et le statut juridique de droit privé sera également le même pour tous les établissements. L'Etat fédéral sera autorisé, comme tout propriétaire d'hôpital, à surabonder l'enveloppe de la sécurité sociale pour le fonctionnement ou l'investissement.
Il n'y aura plus, après cette réforme, de fonctionnaires hospitaliers face à des soignants de droit privé, mais un statut unique des soignants négocié au niveau national. Je veillerai à ce que les fonctionnaires actuels ne soient pas perdants dans ce transfert de statut, et je suis certain qu'ils seront même gagnants.
Les réformes de santé seront également l'occasion de repenser la part de dépenses de santé pesant sur la sécurité sociale. Notre système de sécurité sociale sera à un haut niveau de protection de la santé. Il permettra la prise en charge en quasi intégralité des frais de santé essentiels, à savoir les hospitalisations, les visites chez le médecin généraliste ou spécialiste ou encore chez le dentiste. En revanche, les soins dits "de confort" tels que l'optique ou l'ostéopathie seront remboursés par les complémentaires santé. En effet, j'estime qu'il est bien plus raisonnable pour les deniers publics comme pour le bon fonctionnement de notre système de solidarité qu'en matière de soins de conforts chacun puisse choisir des contrats complémentaires qui correspondent à ces besoins. J'ai choisi de laisser aux métropoles le choix de créer ou non des complémentaires santé locales pouvant prendre en charge les soins de confort de tout ou partie des administrés.
Un tel système de remboursement des soins sera extrêmement bénéfique et placera notre pays à un niveau de protection de la santé comparable à ce que des pays européens à forte sécurité sociale proposent.
Je fais également le choix de sortir notre pays de son archaïsme en matière de traitements. Il est inconcevable que dans un pays évolué comme le nôtre, seuls les génériques puissent être disponibles à la suite du bannissement des brevets pharmaceutiques. Des milliers de traitements indispensables sont découverts chaque année, et la science avance très vite : l'ARN messager, les thérapies géniques, les nouvelles thérapies contre le cancer ou les maladies rares sont autant d'espoirs immenses pour les malades comme pour leurs proches. Il est éthiquement inhumain que la Frôce s'empêche d'offrir à ses malades des traitements essentiels à leur survie ou à une vie meilleure. Je reconnaîtrai donc les brevets pharmaceutiques, réorganiserai le circuit du médicament en Frôce pour allier sécurité sanitaire et mise à disposition rapide des traitements, et chargerai le Ministre de la Recherche d'oeuvrer pour relancer la bio production dans notre pays.
Parler de santé, c'est parler de dépenses, mais c'est aussi parler de recettes. Je fais tout ce qui est en mon pouvoir pour que notre haut niveau de protection sociale ne soit pas en contradiction avec la volonté que j'ai de ne pas gréver le pouvoir d'achat des frôçeux. Je veillerai donc à ce que le taux de cotisations salariales et patronales soit bas. Cela nécessite un effort évident en matière de taxes sur les produits mauvais pour la santé. Ainsi, une taxe forfaitaire d'au moins 7 pluzins sera appliquée sur les paquets de cigarette. Une taxe forfaitaire par litre d'alcool sera également appliquée, avec des différences selon le type de boissons vendues. Ceci permettra des revenus conséquents.
In fine, je l'annonce, les comptes de la sécurité sociale seront à l'équilibre, y compris en comptant les retraites, le chômage et les aides familiales et handicap.
Ce plan, inédit dans son ambition, saura faire passer la Frôce dans le XXIe siècle en matière de santé. Nous ferons désormais davantage confiance aux soignants, cesseront de leur mettre des bâtons administratifs dans les roues et protégeront au niveau national leurs rémunérations et carrières. Nous garantirons un haut niveau de santé de la population par une alliance ambitieuse entre sécurité sociale et complémentaires santé. Enfin, nous permettrons à la Frôce de soigner des malades jusqu'alors laissées dans le silence et l'abandon de toute une Nation.
Je vous remercie.
Chères soignantes et soignants,
Mesdames et Messieurs.
Les soignants que j'ai eu la chance de rencontrer ce matin sont uniques. Ils ont chacun leurs motivations propres qui les ont poussés à s'engager au service des autres ; ils ont chacun leur propre regard sur l'hôpital ; ils ont tous une émotion individuelle qui fait leur complexité et qui nécessite une écoute particulière des problèmes qu'ils rencontrent. Mais ils ont tous quelque chose de fort en commun : une dévotion particulière envers la société, envers la santé, envers leur pays. J'ai souhaité consacrer ce premier déplacement à ces soignants. On ne parle, en Frôce, pas suffisamment des soignants. On parle de santé, on parle d'hôpital, on parle d'action publique, mais on ne parle pas des soignants. En miroir, on ne parle pas des malades non plus. Autrement dit, en Frôce, on considère qu'investir dans la santé c'est avant tout investir dans des structures publiques. Cette manière de penser que l'état de santé des frôçeux va nécessairement s'améliorer de manière croissante avec l'investissement dans les établissements publics a vécu.
Tout d'abord parce que les hôpitaux ne sont pas composés que de structures publiques. Tout notre pays est maillé de cliniques privées, à but lucratif ou non, qui fournissent chaque jour un effort particulier pour la santé des frôçeux. A ce titre, il est largement démodé d'opposer service public et activité privée. Toutes les structures de santé doivent avoir l'obligation d'oeuvrer pour la santé de la population. Hélas, le déséquilibre est fort entre ces structures privées et l'hôpital public. Les soignants du public partent vers le privé car ils y sont mieux payés et y trouvent des organisations moins archaïques et moins centralisés. Les hôpitaux fédéraux ont mieux à faire que de courir continuellement après leurs ressources humaines. Quand aux structures privées, elles doivent être limitées dans l'activité libérale qu'elles offrent aux médecins. C'est pourquoi :
- Le statut des soignants sera désormais le même peu importe la structure dans laquelle ils exerceront. Leurs niveaux de rémunération sera fixée par le biais d'une négociation nationale, qui déterminera également le taux maximum d'activité libérale qu'ils pourront exercer en établissement. Ainsi, il n'y aura plus de concurrence entre hôpitaux privés et gérés par l'Etat sur la question des ressources humaines. Ceci facilitera, en outre, le passage des soignants d'un établissement à un autre et la visibilité dans leurs carrières.
- Le statut des établissements sera désormais également le même qu'il s'agisse d'un établissement géré par le privé ou d'un établissement géré par l'Etat. La loi ne fera ainsi de distinction que dans les activités pratiquées par ces établissements. Les hôpitaux qui proposeront des activités fortement nécessaires sur leur territoire se verront allouer par la sécurité sociale une rétribution de service public - ça sera le cas, par exemple, dans les déserts médicaux. Ceci sera valable également pour les activités d'urgence. Pour les autres activités, un système de rémunération mixte mêlant base de fonctionnement humanisé du service, tarification à l'activité et enveloppe de suivi personnalisée du patient sera institué par la sécurité sociale.
J'insiste sur le fait que les établissements appartenant à l'Etat continueront d'être gérés par l'Etat ; seulement, le système financement de droit commun par la sécurité sociale sera le même pour tous les établissements, et le statut juridique de droit privé sera également le même pour tous les établissements. L'Etat fédéral sera autorisé, comme tout propriétaire d'hôpital, à surabonder l'enveloppe de la sécurité sociale pour le fonctionnement ou l'investissement.
Il n'y aura plus, après cette réforme, de fonctionnaires hospitaliers face à des soignants de droit privé, mais un statut unique des soignants négocié au niveau national. Je veillerai à ce que les fonctionnaires actuels ne soient pas perdants dans ce transfert de statut, et je suis certain qu'ils seront même gagnants.
Les réformes de santé seront également l'occasion de repenser la part de dépenses de santé pesant sur la sécurité sociale. Notre système de sécurité sociale sera à un haut niveau de protection de la santé. Il permettra la prise en charge en quasi intégralité des frais de santé essentiels, à savoir les hospitalisations, les visites chez le médecin généraliste ou spécialiste ou encore chez le dentiste. En revanche, les soins dits "de confort" tels que l'optique ou l'ostéopathie seront remboursés par les complémentaires santé. En effet, j'estime qu'il est bien plus raisonnable pour les deniers publics comme pour le bon fonctionnement de notre système de solidarité qu'en matière de soins de conforts chacun puisse choisir des contrats complémentaires qui correspondent à ces besoins. J'ai choisi de laisser aux métropoles le choix de créer ou non des complémentaires santé locales pouvant prendre en charge les soins de confort de tout ou partie des administrés.
Un tel système de remboursement des soins sera extrêmement bénéfique et placera notre pays à un niveau de protection de la santé comparable à ce que des pays européens à forte sécurité sociale proposent.
Je fais également le choix de sortir notre pays de son archaïsme en matière de traitements. Il est inconcevable que dans un pays évolué comme le nôtre, seuls les génériques puissent être disponibles à la suite du bannissement des brevets pharmaceutiques. Des milliers de traitements indispensables sont découverts chaque année, et la science avance très vite : l'ARN messager, les thérapies géniques, les nouvelles thérapies contre le cancer ou les maladies rares sont autant d'espoirs immenses pour les malades comme pour leurs proches. Il est éthiquement inhumain que la Frôce s'empêche d'offrir à ses malades des traitements essentiels à leur survie ou à une vie meilleure. Je reconnaîtrai donc les brevets pharmaceutiques, réorganiserai le circuit du médicament en Frôce pour allier sécurité sanitaire et mise à disposition rapide des traitements, et chargerai le Ministre de la Recherche d'oeuvrer pour relancer la bio production dans notre pays.
Parler de santé, c'est parler de dépenses, mais c'est aussi parler de recettes. Je fais tout ce qui est en mon pouvoir pour que notre haut niveau de protection sociale ne soit pas en contradiction avec la volonté que j'ai de ne pas gréver le pouvoir d'achat des frôçeux. Je veillerai donc à ce que le taux de cotisations salariales et patronales soit bas. Cela nécessite un effort évident en matière de taxes sur les produits mauvais pour la santé. Ainsi, une taxe forfaitaire d'au moins 7 pluzins sera appliquée sur les paquets de cigarette. Une taxe forfaitaire par litre d'alcool sera également appliquée, avec des différences selon le type de boissons vendues. Ceci permettra des revenus conséquents.
In fine, je l'annonce, les comptes de la sécurité sociale seront à l'équilibre, y compris en comptant les retraites, le chômage et les aides familiales et handicap.
Ce plan, inédit dans son ambition, saura faire passer la Frôce dans le XXIe siècle en matière de santé. Nous ferons désormais davantage confiance aux soignants, cesseront de leur mettre des bâtons administratifs dans les roues et protégeront au niveau national leurs rémunérations et carrières. Nous garantirons un haut niveau de santé de la population par une alliance ambitieuse entre sécurité sociale et complémentaires santé. Enfin, nous permettrons à la Frôce de soigner des malades jusqu'alors laissées dans le silence et l'abandon de toute une Nation.
Je vous remercie.
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